- Produit garanti un an. Voir F.A.Q pour les détails.
- Vous avez 14 jours pour le retourner, s’il ne vous plait pas.
Points clés du produit
- mode manuel
- mode Bulb
- retardateur
- visée libre ou zone focus
- objectif lumineux (< à f/4)
- appareil mécanique (peut marcher sans piles, mais retire l’exploitation de la cellule)
Le Voigtländer VSL-1 possède une histoire un peu particulière. Pour commencer, il s’agit en réalité d’un Rollei SL 35 rebadgé, tout comme le Voigtländer VF135 n’est autre qu’un Rollei XF35. À la différence près que le SL 35 était fabriqué à la fois en Allemagne et à Singapour : ici, pas d’importation exotique, on reste dans la même lignée de production.
Avant le SL 35, on retrouve son ancêtre direct, le Zeiss Ikon SL 706, dont le brevet et la chaîne de fabrication ont été vendus à Rollei. À l’origine, l’appareil utilisait la monture M42, avant que Rollei ne développe plus tard sa propre monture, la QBM. Il faut donc bien vérifier à laquelle on a affaire.
En version QBM, le Voigtländer VSL-1 étant un jumeau du Rollei, il accepte naturellement les mêmes optiques — et pas des moindres : Zeiss Planar, Sonnar, Tessar, Distagon, Mirotar, et autres belles références.
Si vous tombez sur la version M42, c’est encore plus polyvalent : cette monture universelle, largement adoptée à l’époque, donne accès à un choix immense d’objectifs de nombreux fabricants.
Pour le reste, il s’agit d’un reflex mécanique doté d’une cellule TTL CdS à indication, indépendante du fonctionnement de l’obturateur. L’appareil peut donc fonctionner sans piles, au prix de perdre la cellule. Il est entièrement manuel, fidèle à l’esprit des reflex classiques.











