Points clés du produit
- 🦾 mode auto
- 💪 mode manuel
- 🐌 mode Bulb
- ‼️ mode multi-exposition
- ⏳ retardateur
- 🪞 visée reflex manuelle
- 🔆 objectif lumineux (< à f/4)
La première chose qui marque, en le prenant en main, c’est qu’il respire la solidité. Peu de surprise, quand on connait le positionnement haut de gamme de la marque, avant de céder face à la concurrence.
Il faut dire que les SL sont issus de Voigtlander, que Rollei racheta. Et Voigtlander se basa sur les brevets de Zeiss Ikon et son SL 706, pour créer les VSL, qui sont les jumeaux des SL.
Autant dire que la lignée est prestigieuse. De plus, cette gamme se base, en majorité, sur la monture QBM. Et cette dernière comporte des pièces magnifiques. Dont les Planar, Sonnar, Tessar, Distago, Mirotar… Vous avez compris, c’est son point le plus fort.
Le SL35E intervient en fin en lignée. L’électronique est de plus en plus implantée (d’ou le “E”), Rollei suivra l’évolution du marché. Ainsi, nous avons un appareil qui fonctionne en automatique avec priorité ouverture et manuel. Il comporte une fonction de correction de l’exposition, allant de -2 à +2.
Le Rolleifles SL35E exploite des cellules photodiodes au silicium, plus précises que les CdS. En résulte un calcul total de l’image, afin d’éviter un écart entre le sujet et le fond.
Grâce à son évolution, le E est plus compact que les versions précédentes. Ce qui le rend plus facile à transporter et maintenir. On terminera par la présence d’un mode de surimpression, pour la photo créative.