C’est surement la question qui m’est le plus souvent posée via les messages privés de mon compte Instagram. Une vaste problématique car chacun a un besoin, un niveau, un budget diffèrent. J’ai déjà fait par le passé des sélections personnelles de boitiers dans mes articles, mais encore une fois c’est un choix orienté par mon opinion. Faites la même demande à un professionnel et il vous donnera une réponse différente. Ainsi le but de ce billet sera de vous aider à déterminer ce dont vous avez besoin pour partir à l’aventure.
Crédit image à la une: Freepik.com
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- Les bonnes questions à se poser avant de commencer la recherche.
- Déterminer le type de pratique que l’on veut faire pour savoir quel argentique utiliser.
- L’interrogation liée au format.
- Pour finir résumons.
- Bonus ! Cela peut vous intéresser.
Les bonnes questions à se poser avant de commencer la recherche
Progresser ou simplement profiter ?
Progresser
Si votre objectif est de maîtriser le sujet étape par étape, les modes semi-auto (priorité ouverture et vitesse) et manuel seront à avoir. C’est comme le vélo, au début on mets les petites roues, ensuite on en retire une puis 2 jusqu’à l’autonomie. Les modes semi-auto priorité vitesse et ouverture symbolisent les roues. L’avantage avec cela est que vous pourrez jongler en fonction du besoin.
Par exemple vous voulez travailler les portraits, l’ouverture sera la clé. Vous voulez bosser le mouvement, donc la vitesse sera indispensable. Systématiquement gardez un œil dans le viseur pour voir le choix complémentaire que fait l’appareil.
Une fois assimilé libre à vous de partir en manuel et exprimer votre créativité. Et enfin, c’est une logique, la mise au point manuelle sera nécessaire afin d’avoir le contrôle total du focus. L’autofocus peut parfois faire le mauvais choix.
Profiter
Dans ce cas nul besoin d’avoir 36 modes sur l’appareil, l’automatisme sera suffisant. Laissez la cellule de l’argentique déterminer le meilleur choix. Dans ce type de profil une mise au point par autofocus ou par “zone” facilitera aussi l’utilisation. Votre seule réflexion viendra de la pellicule à attribuer et sa valeur en ASA.
Le Canon AF35M symbolise bien cette catégorie. Mise au point, choix des réglages, avancement de la pellicule, il fait tout.
Occasionnel ou régulier ?
Bien entendu un appareil photo peut convenir pour les deux situations. L’importance de la question va surtout être de déterminer la taille et le poids de la future acquisition.
Le photographe du weekend pourra transporter son précieux dans un sac adapté pour partir à l’aventure. Mais celui de tous les jours ? Celui qui devra autant trimbaler la caméra que les cours de la fac, son ordi du boulot ou sa nourriture pour la pause déjeuner ? L’encombrement et le poids joueront un rôle important dans la décision finale. Au risque de devenir un fardeau que l’on préfèrera se séparer.
Heureusement il existe toujours une solution
Si l’ont doit faire attention à la taille, vous avez plusieurs alternatives possibles. Compact 35 mm, ou encore les folding en 120. Si vous avez les moyens il est possible aussi de mettre la main sur des objectifs “pancake”. Le surnom prvient du format plat de l’objet. Combiner avec un SLR compact il est possible d’avoir un appareil polyvalent sans trop y perdre. Un combo gagnant ? Le Pentax ME super et le 40 mm f/2.8 pentax M font des merveilles.
Du coté des compacts, l’Olympus Mju 2 est un des classiques. Autofocus redoutable, weatherproof, et surtout ultra-compact ! Il répondra aux photographes de tous les jours qui ont une charge quotidienne. Mais attention son prix est pas le plus bas du marché.
Quelques suggestions pour trouver un appareil compact et peu lourd
- Un SLR : Nikon FG
- Un télémétrique : Ricoh 500 G ou Minolta Hi-Matic E
- Un compact : Olympus MJU et MJU 2
- Un instantané : Fujifilm Instax Mini 70
- Un format 120 : Lomo Lubitel 166
Êtes vous prêt à développer ? Non ? Alors parlons instantané
La question peut surprendre, pourtant les raisons contre cela sont multiples. Par exemple on peut trouver trop coûteux le prix d’un développement et voir ne pas vouloir apprendre à le faire.
Si c’est le cas l’alternative reste l’instantané. Et heureusement pour vous c’est un marché porteur qui propose une multitude de modèles avec différents formats de cartouches. Polaroid Originals et Fujifilm sont les acteurs principaux de cette bataille.
Petit format et économique, l’Instax mini !
Dans ce secteur, le roi est Fujifilm. Avec les Instax mini 9, 70 et 90 NEO. Lomography également a pris le fabricant Japonais pour fournisseur afin d’alimenter les Lomo’Instant et Lomo’Instant Automat. Des challengers provenant directement de Kickstarter font aussi le pari du mini, comme Mint avec le Instantflex ou encore Escura avec le Instant 60’s.
Le Escura Instant 60’s promet un instantané sans batterie dans la tendance du “hand powered”.
Le format carré, le légendaire
Chez Polaroid
Côté Pola il sera simple de trouver le bonheur en occasion entre 10 et 50 euros. Les anciens modèles simples usent du format 600. Les modèles avec + de réglages du SX-70. Et enfin depuis la renaissance de la marque vous pouvez compter sur le I-type.
Ce qui change ? Plus de batterie dans la cartouche et la taille est un peu plus petite. Sinon direction les nouveautés avec la gamme OneStep, modèles connectés et plus onéreux.
Chez Fujifilm
Même si Fujifilm à pris son temps avant de rejoindre pola sur ce format (en réponse à son concurrent revenant ?). La marque japonaise n’a pas chomée puisque de son côté il nous gratifie du SQ6 et SQ20. Reste Lomography toujours prompt à suivre le mouvement avec son Lomo’ Instant Square Glass.
Le SQ10 ici en image est le 1er format “square” à se lancer dans la bataille, pour Fujifilm.
Voir + large avec les Polaroid Spectra & Fujifilm Instax Wide
Pour profiter de la version made in Pola il faudra de nouveau regarder sur le marché de l’occasion avec les Spectra/Images. Par contre pour le neuf, vous pourrez choisir entre les Fujifilm WIDE 210 et 300. Si vous êtes un créatif je ne peux que recommander le Lomo’Instant Wide.
Le Lomography Instant Wide, comme le reste des modèles exploitant de l’Instax Wide, présente un viseur étrangement excentré.
N’oublions pas le format 8×10 !
Format désormais boudé par Fujifilm, on peut néanmoins compter sur Polaroid original pour en profiter. Vous pouvez aussi voir chez les passionnés, avec le packfilm One Instant provenant d’une campagne Kickstarter de Supersense.
Si vous voulez un argentique instantané, privilégiez Fujifilm !
Les raisons sont multiples, c’est la solution la moins chère, la chimie est mieux maîtrisée et donc le rendu plus fidèle. Alors oui on peut avoir un Polaroid pour 20 euros sur le web, mais les consommables vont vite faire grimper la facture.
Prenons un exemple : Une cartouche Pola 600 vaut 19 euros, avec les frais de port on monte à 25 euros. Sachant que la munition ne contient que 8 tirages, le rapport qualité/prix est faible. Pour le même montant et le même format vous trouverez l’Instax square avec 20 tirages !
Budget confortable ou à maîtriser ?
En dehors du budget que chacun aura définit en amont de la recherche, il y a des petites astuces auquel on peut penser.
Économes pensez objectif universel
Afin de ne pas avoir le banquier sur le dos, il est possible de partager des optiques entre plusieurs caméras ! Avec cela rien ne vous empêche de garder la maîtrise de la qualité même sur de l’entrée de gamme.
M39
Si vous voulez un télémétrique avec des objectifs interchangeable, c’est l’idéal. Quand on parle du M39 généralement on vous donnera en exemple Leica ou Contax. Et pourtant il existe aussi les alternatives Japonaises et Russes qui produisent via différentes marques (Canon, Nikon, Zorki, FED, Kiev…) des copies Allemandes.
Beaucoup moins cher et pourtant pas dénué de qualité, j’ai par ailleurs testé le Kiev 4am, qui est un clone d’un Contax et dont j’ai adoré le manipuler.
La variante “am” du Kiev 4 est la plus accessible financièrement sur le web.
M42
Le m42 sera un allié de poids si vous voulez surtout des SLR à petit prix. Une des références c’est Pentax, qui à l’époque avait pour cible les professionnels. Les objectifs du constructeur (Takumar) sont des valeurs sures, et en posséder un vous garantira une bonne base. Si vous voulez découvrir quelques modèles, j’ai testé le Asahi Pentax Spotmatic SP2, le Wirgin Edixa et le Praktica MTL3. D’ailleurs petite anecdote pour tester le dernier j’ai réutilisé l’objectif Xenar du second.
Le Praktica MTL3 à monture 42 se trouve pour une bouchée de pain sur le web.
Monture K
La monture à baïonnette Pentax K qui remplace dans la philosophie le M42 est aussi présente chez plusieurs fabricants, surtout en entrée de gamme. Ainsi pour vous donner des exemples les revues du Cosina CT-1a et du Chinon CE-5 qui exploitent la même base, sont visibles sur le blog.
Elle évoluera et il encore possible de monter des anciens modèles sur un boitier plus récent. Vous serez juste plus limité en terme de fonctionnalité. Par exemple, Pentax fera passer la monture de K à Ka. En ajoutant des contacts électroniques, le fabricant permettra d’exploiter les reflex en mode priorité vitesse, en plus de la priorité ouverture. Chose impossible auparavant. Mais rien n’empêche de réutiliser les versions antérieures, sans exploiter les nouveautés.
Le chinon CE-5 est un appareil compact est léger, dans la philososphie des Pentax M. Il exploite d’ailleurs la monture K et peut donc utiliser ceux des concurrents.
Déterminer le type de pratique que l’on veut faire, pour savoir quel argentique utiliser
Le choix devra être adapté en fonction de la mission qu’il aura. Si vous cherchez la polyvalence aucun miracle un appareil (SLR, TLR, télémétrique…) avec des objectifs interchangeables est pertinent. Vous répondrez ainsi à toutes les situations.
Attention: Notez que je donne des pistes mais libre à vous de faire autrement. Par exemple si vous faites un portrait avec un 17 mm, votre photo ne va pas brûler dans les flammes de l’enfer.
Pour les paysages, grand angle et petite ouverture
L’objectif grand angle (ex : 28 mm et moins) sera votre allié si vous voulez surtout capter la grandeur d’un environnement. C’est par exemple un bon choix pour de la photo en zone montagneuse, ou pour capter la dimension d’un bâtiment comme la tour Eiffel. Une bonne profondeur de champ sera aussi utile, on parle pour cela de l’ouverture symbolisé par le “F/”. Plus ce dernier sera petit (F/16 voir F/22), moins vous subirez un effet de voile sur une longue distance.
Le Nikon AF600 propose 2 choix pour le format, normal ou panoramique. Crédit photo: Wikimedia Common.
Quelques suggestions hors modèles avec des objectifs interchangeables, car ils sont forcément adaptés
- Un compact : Nikon AF600 ou Olympus XA4
- Un télémétrique : Olympus 35 RC
- Un instantané : Lomo’Instant Automat Glass Elbrus ou Polaroid Land Camera 3000
- Un format 120 : Lomo LC-A 120
Pour les portraits, du 35 au 105 mm, avec une grande ouverture
Bon à ce moment précis j’entre dans un champ de mine, tant c’est un débat ancestral chez les photographes.
Ce qui va compter surtout c’est, encore une fois, l’ouverture. Mais cette fois sur sa grandeur (F/2.8 et en dessous). Plus ce dernier le sera, plus le bokeh sera prononcé, et c’est un effet très demandé sur ce type de photographie.
Alors pourquoi un débat sur la focale ? La raison est simple, c’est une affaire de perception. En fonction une déformation se produit, pouvant changer la morphologie du sujet. Je vous passe une vidéo exprimant cela juste en dessous. De mon opinion il y a aucun mauvais choix, juste une préférence.
Quelques suggestions hors modèles avec des objectifs interchangeables, car ils sont forcément adaptés
- Un compact : Contax T2
- Un télémétrique : Canonet QL 17 G3
- Un instantané : Polaroid SX-70
Pour de la photo de rue : 24 au 85 mm, petite ouverture et une bonne vitesse
Pour cette méthode il existe 2 écoles.
D’abord ceux captant le moment très proche du sujet, nécessitant d’être à l’aise avec le regard des gens. Si vous en êtes un alors le 35 mm sera la limite.
Puis vient ceux un peu plus timide, recherchant surtout à ne pas attirer l’attention. Dans ce cas il faut prendre une valeur plus haute.
Il n’y a pas de mauvais choix, même si parfois les photographes de rue sont radicaux la dessus.
Dans tous les cas une pellicule avec une haute valeur en ASA, permettant à la fois une petite ouverture et une grande vitesse est essentiel. Cela permet de couvrir une large profondeur de champ et capter les sujets en mouvement.
Avis personnel, le Minox 35 GT est un bon choix si vous maîtrisez la mise au point manuelle. Petit, léger et très silencieux du à l’absence de mécanisme automatique, pour l’avancement du film.
Quelques suggestions hors modèles avec des objectifs interchangeables, car ils sont forcément adaptés
- Un compact : Rollei 35S
- Un télémétrique : Yashica Electro 35
- Un instantané (pas vraiment adapté hors portrait de rue) : Polaroid SX-70
Pour le reste…
Si vous voulez faire de la macro il suffit de trouver un objectif qui dispose de la fonction. Cela se traduit par une mise au point minimale, très proche du sujet. Il en existe autant sur du 30 mm que du 105 mm, il faut surtout lire la fiche technique.
Aussi si vous voulez capter les grandes distances comme la lune, un télé-objectif sera nécessaire. Entre 200 et 500 mm. Un trépied sera aussi important.
L’interrogation liée au format
Les formats sont légions. Mais de nos jours seulement une poignée sont encore en production, avec une tendance flagrante vers le 135 mm. Du 8 x 11 mm au 28 x 40 mm, il y eu beaucoup de tentatives pour finalement peu d’élus. Avec le passage au numérique il reste désormais 3 grands survivants que je vous présente.
Le format 110 pour les espions en herbe
Modèle emblématique, le Minox Riga était facile à dissimuler. Crédit de la photo : Laurent Fischer pour Wikipédia.
Si je parle d’espionnage, c’est simplement, car le 110 mm est le plus petit format disponible. Sa petite surface présentait un avantage important, puisque permettant la fabrication d’appareils de la taille d’un briquet ! L’un des concepteurs emblématiques de l’époque était Minox, spécialiste de l’optimisation ergonomique. On attribue souvent à la marque allemande d’avoir facilité le travail des espions.
Trouver un fournisseur est limité puisqu’à ce jour seul Lomography propose à la vente le micro format en 24 poses. Ensuite viendra le marché de l’occasion avec des modèles périmées. Pour le développement aussi, il faudra se renseigner, car tous les labos ne font pas le 110.
Le 135 mm, la star de l’argentique
Pour les créatifs, les marques Dubblefilm, Kono et Revolog fabriquent des pellicules aux effets amusants, à découvrir.
Modèle avec une surface plus confortable que le 110 mm et dont la popularité s’impose à tous. C’est le plus accessible, le moins coûteux et le plus simple à faire développer sur cette planète. Les news dans le domaine de l’argentique tournent à facilement 70% autour du 135 mm.
Autre aspect avantageux, le nombre de photos possible sur la surface du film. Ce dernier peut porter au max de 36 à 72, si vous utilisez un boitier demi-format comme le Olympus Pen ee-2.
Il existe une multitude de pellicules pour toutes les bourses, avec ou sans effets, en couleurs et noir et blanc. En bref c’est (avec l’instantané) le format porteur du secteur.
Le 120, le format moyen coup de cœur de beaucoup de photographes
Ilford, Kodak, Fujifilm, Rollei, Fomapan, Lomography, etc, etc. Tous maintiennent une production pour les amoureux du moyen format.
Avec une surface de plus de 2x supérieure au 135 mm, il est l’ami de ceux qui veulent faire du tirage grand format. Attention par contre, contrairement au petit frère, il ne comporte que peu de poses, entre 8 (6 x 9) et 16 (6 x 4,5) selon les modèles.
Majoritairement, les grands fabricants vont proposer le format 120 en plus du 135 mm. Il est donc simple de trouver la bonne chaussure à son pied. Et contrairement au 110, les laboratoires le prennent encore souvent en charge.
Pour obtenir un appareil compatible encore une fois, c’est pas un problème. Il en existe avec des prix variés que cela soit de type SLR, télémétrique, folding et surtout TLR. Si vous cherchez une bonne référence de départ, le Yashica Mat 124G est un classique qui fait encore rêver beaucoup d’argenteux.
35 mm, format 120, Instantané… Et si on ne veut pas choisir ?
C’est un sujet auquel on pense peu, et pourtant, c’est possible. J’aurais d’ailleurs pu parler de cela dans la section concernant le budget puisque pour le prix d’un, on aura 2 voir 3 formats. L’un des acteurs qui aime ce principe, c’est Lomography, on va donc beaucoup l’évoquer durant cette partie.
Faire du 35 mm avec un moyen format (120)
La combinaison la plus classique, car nécessitant simplement un petit accessoire. Cela se traduit par 2 petits embouts à mettre à chaque extrémité de la pellicule 35 mm pour la caler parfaitement dans le logement initialement conçut pour le 120. Avec cela, il est possible de faire de la photo 35 mm sur chaque appareil moyen format.
Autre solution plus coûteuse, les boîtiers dont la conception permet les deux. C’est le cas par exemple du Belair X 6-12 qui propose un dos interchangeable pour bénéficier du format 35 mm. Pour les bourses plus modestes, le Diana F+ dispose aussi de cette option.
Le Belair X 6-12 avec son dos 35 mm.
Jongler entre 35 mm, moyen format et instantané
Toujours sur la même idée du dos interchangeable, vous pouvez choisir entre une pellicule et une cartouche instantanée. L’un des représentants est le mythique Lomo LC-A, qui peut profiter de cette feature qui exploite les Instax mini.
Mais si le LC-A est inaccessible pour votre portefeuille, sachez qu’il est possible d’avoir la même chose, encore une fois, sur le Diana F+.
Lomo LC-Wide avec dos instantané.
Pour finir, résumons !
- Le format le + varié et le + économique reste le 35 mm.
- Pour faire face à toutes les situations, il faudra miser sur un modèle avec des objectifs interchangeables.
- Toujours sur le sujet de la polyvalence, il vaut mieux un appareil gérant au grand minimum du 800 ASA (idéalement 3200). Afin de pouvoir faire de la photo argentique dans des conditions de basse luminosité.
- Pour débuter de préférence, une focale fixe de 35 ou 50 mm, avec une ouverture de f/3,5 voir moins, sera une bonne base de départ.
- Entre télémétrique et SLR, je préconise plus le deuxième, car le système de mise au point est plus clair et simple à appréhender en général.
- En ce qui concerne les modes, si vous ne visez pas l’apprentissage total de l’argentique, un mode auto voir semi-auto sera suffisant. Retenez que la priorité ouverture vous laisse le choix de la profondeur de champ au détriment de la vitesse. Et que le second fait son exact opposé. Par conséquent, le premier sera plus adapté pour les portraits et le second pour les sujets en mouvement.
Et enfin si vous hésitez au point de ne pas être certain d’accrocher. Sachez que vous pouvez facilement vous équiper pour peu, avec des marques d’entrée de gamme. Cosina, Porst, Revueflex, Petri ou Chinon sont des exemples et ils vous permettront de tester sans y laisser un bras.
Bonus ! Cela peut vous intéresser
Quelques articles que j’ai pu faire et qui peuvent vous aider dans la recherche de la future acquisition.
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